Professors and Lawers

La Clinique est menée par les étudiants et les étudiantes et leur travail se fait sous la supervision d’une équipe de plusieurs professeurs, professeures et avocats, avocates. Les membres de cette équipe d’encadrement sont des professionnels et professionnelles hautement qualifiées qui visent à transmettre aux étudiants et aux étudiantes leur passion quant à la promotion et à la défense des droits humains.

{slider=Prof. Mirja Trilsch, Directrice|closed}

mirja trilschMirja Trilsch est professeure au département des sciences juridiques de l’Université du Québec à Montréal (UQÀM) où elle enseigne le droit constitutionnel et le droit international des droits de la personne. Elle est détentrice d’une maîtrise (LL.M.) en droit international et comparé des droits humains de l’Institut de droit comparé de l’Université McGill. En 2007, elle a obtenu son doctorat avec mention summa cum laude de l’Université de Düsseldorf (Allemagne), sa thèse portant sur la justiciabilité des droits économiques, sociaux et culturels. Avant de se joindre à l’UQAM, d’abord comme chargée de cours et ensuite comme professeure, Mme Trilsch a enseigné à la faculté de droit de l’Université de Düsseldorf et a œuvré auprès du Tribunal pénal international pour l’Ex-Yougoslavie.

Depuis 2011, elle est la directrice de la Clinique Internationale de Défense des Droits Humains de l’UQÀM (CIDDHU). Elle publie régulièrement dans le domaine des droits de la personne et a dernièrement agi à titre de rapporteur national (Canada) au Congrès de l’Académie internationale de droit comparé en 2014 pour le sujet « Les droits sociaux et économiques en tant que droits fondamentaux ».

{slider=Me Elise Hansbury, Directrice par intérim 2017-2018}

elise hansbury

Professeure substitut au Département des sciences juridiques de l’UQAM et directrice par intérim de la CIDDHU pour l’année académique 2017-2018, Elise Hansbury occupe désormais le poste de coordonnatrice de la formation et du laboratoire des droits humains chez Avocats sans frontières Canada. Détentrice d’une maîtrise en études internationales avec une spécialisation en droit international de l’Institut de hautes études internationales et du développement, à Genève, elle poursuit actuellement ses études doctorales portant sur les dialogue des juges dans la jurisprudence de la Cour interaméricaine des Droits de l’Homme.

Membre du Barreau du Québec depuis 2007, Elise Hansbury a été chargée de cours au Département des sciences juridiques et à à la CIDDHU de 2014 à 2017. Elle a supervisé, à ce titre, plusieurs équipes d’étudiant.e.s dans la réalisation de mandats provenant principalement des Amériques. Membre associée au Centre interdisciplinaire de recherche en développement international et société de l’UQAM (CIRDIS), elle agit de plus comme consultante pour l’Organisation internationale du Travail (OIT), au sein de laquelle elle a travaillé à titre de juriste pendant son séjour à Genève.

{slider=Me Marc Perron}

marc perronMe Perron s’est joint à l’équipe de la CIDDHU en tant qu’avocat et chargé de cours en 2010. Avocat, médiateur agréé et arbitre de différends, il est membre du Barreau du Québec depuis 1987 et il est avocat sénior-litige chez Therrien Couture. Il a complété un baccalauréat ès sciences (Psychologie), sa License en droit ainsi que la scolarité de maîtrise en droit international. Ancien étudiant de la CIDDHU (2008), il a participé à la rédaction d’un rapport sur la situation de l’enregistrement des naissances et le droit à l’éducation à travers le monde qu’il  a eu la chance de présenter devant le Comité des droits de l’enfant, à Genève, en septembre 2008. Me Perron exerce sa pratique principalement en litige commercial et droit du travail, il a été membre de divers comités du Barreau du Québec et du Barreau de Montréal, au sein desquels il demeure un participant actif.

{slider=Me Catherine Lafontaine}

catherine lafontaineMe Lafontaine est membre du Barreau du Québec depuis 2013 et est avocate au sein du cabinet Monette Barakett. Diplomée du baccalauréat en relations internationales et droit international (BRIDI) ainsi que du baccalauréat en droit de l’Université du Québec à Montréal, elle a complété, lors de ses études, un stage de dix mois auprès de la Commission interaméricaine des droits de l’homme, située à Washington D.C., en tant que Fellow Brian Tittemore. Elle a également participé au concours de plaidoirie Inter-American Human Rights Moot Court Competition pour lequel elle a, par la suite, été entraîneure et juge.

Celle-ci s’est engagée au sein de la CIDDHU d’abord à titre d’étudiante, puis comme coordonnatrice pendant un an et demi. Elle a plus récemment encadré des équipes d’étudiants et d’étudiantes en tant qu’avocate responsable de dossiers.

{slider=Me Julie Carlesso}

Julie CarlessoMe Julie Carlesso est détentrice d’un baccalauréat en journalisme (UQÀM), d’un baccalauréat en droit (UdM) et d’une maîtrise en droit international et politique internationale (UQÀM).  

Elle pratique en litige chez Norton Rose Fulbright Canada, à Montréal. Elle a auparavant travaillé à titre d’auxiliaire juridique à la Cour suprême du Canada auprès de l’Honorable Richard Wagner. Elle a, en outre, été impliquée à titre d’étudiante dans l’affaire Nadège Dorzema et al, portée devant la Cour interaméricaine des droits de l’homme et pour laquelle la République dominicaine a été condamnée pour plusieurs violations des droits de la personne. Me Carlesso a aussi été coordonnatrice de la Clinique internationale des droits humains de l’UQAM et a effectué, dans le cadre de sa maîtrise, un stage juridique à la Commission interaméricaine des droits de l’homme à Washington, D.C.

{slider=Me Virginie Dufresne-Lemire}

Virginie Dufresne Lemire

 Membre du Barreau du Québec depuis 2014, Virginie Dufresne-Lemire travaille chez Arsenault Dufresne Wee avocats, cabinet qu’elle a fondé avec deux collègues. Elle est détentrice de deux baccalauréats de l’UQÀM (droit et relations publiques) et est en voie d’obtenir une maîtrise en Prévention et règlement des différends de l’Université Sherbrooke. Elle a effectué son stage du Barreau auprès de l’Honorable Michèle Pauzé puis de l’Honorable Ann-Marie Jones au Tribunal des droits de la personne du Québec. Elle commence par pratiquer en droit criminel, puis se spécialise en droit civil dans les cas de brutalité policière et d’agressions sexuelles, entre autres dans le cadre d’actions collectives contre des congrégations religieuses.

{slider=Me Léa Lemay Langlois}

Lea_Lemay_LangloisLéa Lemay Langlois est diplômée du baccalauréat en droit et du baccalauréat en relations internationales et droit international de l’UQAM. Elle détient également une maîtrise en droit international des droits humains de l’Université Notre Dame aux États-Unis, qu’elle a complétée à titre de double boursière Fulbright et John Peters Humphrey. Mme Lemay Langlois a travaillé au sein de diverses organisations académiques et de la société civile, notamment en tant que conseillère juridique en droits humains au Guatemala. Elle complète présentement son stage du Barreau du Québec auprès d’un cabinet d’avocats spécialisé en droit des peuples autochtones à Montréal.

{slider=Me Alia Chakridi}

Me Alia Chakridi est diplômée de l’Université du Québec à Montréal en droit (L.L.B. 2013) ainsi qu’en relations internationales et droit international (B.A. 2010). Membre du Barreau du Québec depuis 2015, elle fut avocate-recherchiste auprès des juges de la Cour supérieure du Québec avant de se joindre à notre étude, où elle exerce principalement en droit criminel et pénal dans tous les districts du Québec. Elle représente également des personnes faisant l’objet d’une demande d’autorisation de soins devant la Cour supérieure. Préoccupée par la criminalisation de certains enjeux sociaux et par la surreprésentation de personnes racisées et marginalisées au sein du système de justice pénale, Me Chakridi est sensible aux réalités socio-économiques de chacun.e et offre une défense adaptée. La protection des droits et libertés de chacun.e est également au cœur de sa pratique. Elle est présentement membre du Conseil d’administration de l’organisme Projet Genèse qui lutte contre la pauvreté, en plus de s’impliquer auprès de l’Association des juristes progressistes (AJP).

{slider=Me Melissa Beaulieu-Lussier}

Melissa Beaulieu LussierMe Mélissa Beaulieu Lussier est membre du Barreau du Québec depuis 2014. Elle est diplômée du baccalauréat en droit et du baccalauréat en droit international et relations internationales de l’UQAM. Elle est également détentrice d’une maitrise de l’Université McGill, dont le mémoire porte sur le droit pénal international et les violences sexuelles. Me Beaulieu Lussier a été stagiaire et consultante juridique à la Cour pénale internationale pour l’équipe de défense de M. Bosco Ntaganda et travaille maintenant en droit criminel à Montréal. Elle a également participé au Concours de droit international humanitaire Jean-Pictet, pour lequel est responsable de la formation juridique à l’UQAM depuis 2015.

{slider=Me Stephane Perron-Tremblay}

Stephane Perron TremblayMe Stéphane Perron Tremblay est diplômé du baccalauréat en relations internationales et droit international et du baccalauréat en droit de l’UQAM. Il a terminé sa formation du Barreau du Québec en 2018 après avoir effectué un stage auprès de la Commission des droits de la personne et des droits de la jeunesse (CDPDJ). Stéphane a participé à la CIDDHU en 2013 où il a eu la chance de travailler à la production d’un rapport d’observation sur la mise en œuvre des mesures de réparation ordonnées par la Cour interaméricaine des Droits de l’Homme dans le cadre de l’affaire Nadège Dorzema c. République dominicaine (2012). Il a également effectué un stage terrain au Centro Cultural Dominico-Haitiano en République Dominicaine. Après avoir agi à titre de coordonnateur de la CIDDHU de 2015 à 2017, il a poursuivi son implication à la CIDDHU à titre de case-manager. Il travaille actuellement à la CDPDJ à titre d’enquêteur. 

{slider=Me Christine Renaud}

Christine RenaudChristine Renaud a commencé sa pratique juridique en droit criminel et pénal, travaillant notamment auprès des femmes incarcérées et dans des dossiers d’erreurs judiciaires. Elle a auparavant travaillé au Cambodge dans une organisation locale de défense des droits des femmes. Elle a été impliquée comme procureure, puis comme recherchiste, à la Commission d’enquête sur la protection de la confidentialité des sources journalistiques, puis comme procureure en charge du secteur correctionnel à la Commission d’enquête sur les relations entre les Autochtones et certains services publics : Écoute, Réconciliation, Progrès. Elle est présentement analyste et chargée de projets au Centre international pour la prévention de la criminalité et enseigne le droit au Collège Ahuntsic. Elle agit aussi comme avocate conseil à la Commission spéciale sur les droits des enfants et la protection de la jeunesse.

{slider=Me Frédéric Paquin}

frederic paquin

Me Frédéric Paquin a travaillé pendant plus de onze ans à titre de plaideur pour le gouvernement canadien. Il a représenté la Couronne devant les tribunaux judiciaires dans le cadre d’actions en responsabilité civile, de recours en contrôle judiciaire et de demandes de nature constitutionnelle, notamment en matière constitutionnelle autochtone. Depuis 2012, Me Paquin enseigne le droit au Collège de Valleyfield dans le cadre du programme de Techniques juridiques. Il supervise également des dossiers à la CIDDHU. Il est présentement chargé de cours à l’Université du Québec à Montréal, où il enseigne le droit autochtone. Enfin, Me Paquin agit à titre d’avocat-conseil en droit administratif et constitutionnel dans le cadre de recours en droit de l’environnement.

{slider=Me François Le Moine}

François Le MoineFrançois Le Moine est membre du Barreau du Québec et pratique principalement en litige commercial et dans les questions liées au droit des arts. Il enseigne un cours de droit des arts et du patrimoine culturel.

Me Le Moine détient une licence de la Sorbonne, une maîtrise de l’École des hautes études en sciences sociales et des diplômes de droit civil et common law de l’Université McGill. Il a également étudié aux universités de Keio, de Copenhague et de Shantou.

{slider=Me Maggie Bellerose}

Maggie Bellerose

Me Maggie Bellerose est diplômée du baccalauréat en relations internationales et droit international et a complété en 2010 avec mention d’honneur la maîtrise en politique internationale et droit international de l’UQAM. Elle a également travaillé dans la fonction publique canadienne et québécoise, notamment à la Délégation du Québec à Los Angeles, ainsi qu’à la Délégation canadienne auprès de l’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE). Également diplômée du baccalauréat en droit de l’UQAM, elle a participé comme étudiante à la CIDDHU à l’automne 2016. Elle poursuit depuis son implication au sein de la CIDDHU à titre de case-manager, et apporte son soutien à des équipes travaillant sur des dossiers de litige auprès de la Cour européenne des Droits de l’Homme. Elle est présentement avocate-recherchiste à la Cour d’appel du Québec à Montréal.

{slider=Me Laurianne Ladouceur}

Laurianne Ladouceur

Me Laurianne Ladouceur a été stagiaire et conseillère juridique en droit international humanitaire au Comité international de la Croix-Rouge (CICR) à Genève. Elle a également été conseillère juridique volontaire pour Avocats sans frontières Canada au Honduras, auprès du Centro de Investigación y Promoción de los Derechos Humanos (CIPRODEH). Elle détient un baccalauréat en droit de l’Université de Montréal (UdeM) et poursuit présentement des études de maîtrise en droit international à l’UQAM. Engagée dans la promotion et la protection des droits humains, elle a participé au cours de la CIDDHU en 2012, puis a renouvelé son engagement à titre d’avocat responsable lors des années académiques 2017-2018. Elle a agit à titre de coordinatrice de la CIDDHU pour les années académiques 2017-2018 et 2018-2019.

{slider=Me Maryse Décarie-Daigneault}

maryse décarie

Me Maryse Décarie-Daigneault est membre du Barreau du Québec depuis 2014. Elle est diplômée du baccalauréat en droit (2013) et du baccalauréat en droit international et relations internationales (2011) de l’Université du Québec à Montréal. À la suite de sa participation à la CIDDHU à l’hiver 2010, elle a effectué un stage auprès d’une organisation pour la défense et la protection des droits sexuels et reproductifs de femmes autochtones au Mexique, dans le cadre du projet « Jurisprudence autochtone ». Me Décarie-Daigneault réalise présentement une maîtrise en droit à l’Université McGill, après avoir travaillé comme avocate-recherchiste auprès de la Cour d’appel du Québec. Ses recherches portent sur la violence d’État en Amérique latine et sur les enjeux liés à la justice transitionnelle dans cette région, plus particulièrement dans le cadre la « guerre de la drogue » au Mexique. Passionnée par les enjeux sociologiques portant sur l’impunité et la justice criminelle, elle s’intéresse aux liens entre mémoire, vérité et justice dans les Amériques.

{slider=Me Maya Gold-Gosselin}

Maya Gold GosselinMembre du barreau du Québec depuis 2015, Me Maya Gold-Gosselin est procureure au Directeur des poursuites criminelles et pénales. De 2015 à 2017, elle a travaillé à titre d’avocate-recherchiste auprès de la magistrature à la Cour d’appel du Québec. Me Gold-Gosselin est diplômée du baccalauréat en relations internationales et droit international ainsi que du baccalauréat en droit à l’Université du Québec à Montréal. Elle poursuit actuellement une maîtrise en droit à l’Université Laval portant sur les victimes d’agressions sexuelles et le système de justice.

Par ailleurs, Me Gold-Gosselin a acquis de l’expérience en droit pénal international, en droit des femmes et en droit des enfants lors de stages professionnels, respectivement, à la Chambre III du Tribunal pénal international pour l’ex-Yougoslavie, au Centre d’aide juridique de l’Association des femmes juristes du Bénin et auprès du Président du Tribunal de première instance de Cotonou (Bénin).

{slider=Me Pauline Lachance}

Pauline Lachance

Me Pauline Lachance a travaillé comme avocate-recherchiste à la Cour d’appel du Québec. Elle est présentement avocate en droit criminel. Elle est diplômée du baccalauréat en relations internationales et droit international de l’Université du Québec à Montréal (UQAM) et du baccalauréat en droit de la même université. Elle a participé à la CIDDHU en 2013 et a travaillé sur un dossier qui a éventuellement mené au dépôt d’un rapport parallèle au Comité pour l’élimination de la discrimination envers les femmes des Nations Unies. Elle a par la suite fait un stage pour l’Association des aides familiales du Québec, où elle est restée en tant que bénévole avant de devenir présidente du conseil d’administration pendant un an. Elle a repris son implication à la CIDDHU en 2017 en tant que case manager, puis à titre d’avocate responsable.

{slider=Me Marjolaine Olwell}

Marjolaine Olwell

Marjolaine Olwell est membre du Barreau du Québec depuis 2012. Elle est détentrice d’un Baccalauréat en relations internationales (BRIDI) et d’un Baccalauréat en Droit de l’UQÀM. Durant ses études, elle s’est intéressée au droit autochtone, ainsi qu’au droit interaméricain, s’impliquant à la CIDDHU, auprès de Droits et Démocratie, ainsi qu’à titre de plaideuse et d’entraîneure au concours de plaidoirie trilingue de la Inter-American Human Rights Moot Court Competition. Marjolaine a commencé sa carrière d’avocate à la Cour d’appel du Québec comme recherchiste pour le juge Clément Gascon. Elle s’est ensuite dirigée vers la pratique du droit autochtone au sein du cabinet Dionne Schulze senc, où elle a représentée des individus et des communautés autochtones dans de nombreux dossiers en droit pénal, constitutionnel, et dans le cadre du Processus d’évaluation indépendant de la Convention de règlement relative aux pensionnats indiens. Marjolaine travaille maintenant comme avocate pour le Rapporteurship sur les droits des peuples autochtones de la Commission interaméricaine des droits de l’Homme, à Washington DC. Elle encadre à distance une équipe d’étudiants en tant qu’avocate responsable du dossier.

{slider=Mme Faïza Kadri}

Faïza KadriMadame Faïza Kadri détient un Baccalauréat et une Maitrise en droit, et poursuit des études doctorales. Ses champs d’étude portent particulièrement sur les droits économiques et sociaux et les courants de pensée postcoloniaux. Ses intérêts de recherche touchent également aux enjeux des revendications identitaires et mémorielles (droit à la mémoire et droit de mémoire) en contexte postcolonial.

Faïza Kadri a occupé diverses fonctions en droit au cours de son parcours professionnel, notamment à titre d’avocate en litige et d’agente de recherche en commission d’enquête.

{slider=Prof. Doris Farget}

Doris FargetDoris Farget est docteure en droit des Universités de Montréal et d’Aix-Marseille 3. Après avoir effectué deux stages postdoctoraux dont l’un au Département d’anthropologie de l’Université McGill, elle est aujourd’hui professeure au Département des sciences juridiques de l’Université du Québec à Montréal. Elle y enseigne, tant aux étudiants du département qu’à ceux issus de diverses disciplines des sciences sociales, le droit canadien et les enjeux autochtones. En plus d’être co-chercheure dans le cadre du projet LOFEO, elle travaille aussi sur la notion de propriété collective telle qu’elle est mobilisée par les juges interaméricains et telle qu’elle est perçue par certains interlocuteurs autochtones au Québec.

{slider=Me Michelle Langlois}

Michelle LangloisMichelle Langlois est une juriste canadienne spécialisée en droit international des droits humains et dans l’enseignement clinique juridique. Durant ses études, elle a agi à titre de case-manager et coordonnatrice pour la Clinique internationale de défense des droits humains de l’UQAM (CIDDHU). Mme Langlois a donné plusieurs conférences sur le thème des droits humains et de l’apprentissage par expérience, ainsi que supervisé la rédaction de rapports parallèles sur les droits des enfants, sur la discrimination basée sur le genre et sur la violence en Asie du Sud-Est et dans les Caraïbes. Son intérêt pour l’Asie l’a amenée à faire du bénévolat pour le Extrajudicial Killings Unit of the Cambodian Human Rights and Development Association (ADHOC) et pour la Faculté de droit de l’Université de Phayao en Thaïlande au sein d’une clinique juridique itinérante. Durant sa première année de droit, Michelle Langlois a remporté le Best memorial à la Inter-American Human Rights Moot Court Competition à Washington D.C. Elle supervise maintenant l’équipe de l’Université du Québec à Montréal qui participe à ce concours.

Après son stage auprès d’un grand cabinet de droit canadien, Mme Langlois a complété sa maîtrise en droit international des droits humains de l’Université Notre-Dame aux États-Unis avec la mention summa cum laude. Sa thèse porte sur les enjeux éthiques et pratiques auxquels font face les grands cabinets de droit dans la mise en œuvre des Principes directeurs relatifs aux entreprises et aux droits de l’homme de l’Organisation des Nations Unies. Michelle détient également un baccalauréat en Relations internationales et droit international de l’Université du Québec à Montréal et un certificat en études asiatiques. Elle a été admise au Barreau du Québec en 2014 et travaille aujourd’hui en tant que chargée de projet pour l’organisation SHIFT basée à New York.

{slider=Prof. Dalia Gesualdi-Fecteau}

dalia gesualdi fecteau

Me Dalia Gesualdi-Fecteau est pofesseure au Département des sciences juridiques de la Faculté de science politique et de droit de l’UQAM. De 2005 à 2012, Dalia a pratiqué le droit du travail à la Direction générale des affaires juridiques de la Commission des normes du travail. Dalia est aussi affiliée au Centre de recherche interuniversitaire sur la mondialisation et le travail et a participé à différents projets de recherche, notamment sur les nouvelles formes d’emploi et le travail atypique ainsi que sur les disparités de traitement en milieu de travail. Elle s’intéresse également à la situation, au Canada, des travailleurs étrangers temporaires. Dalia a collaboré à la CIDDHU comme avocate chargée d’un dossier à la session d’hiver 2013, à l’automne 2014 et à l’hiver 2015.

{slider=Prof. Bernard Duhaime, Fondateur}

bernard duhaimeBernard Duhaime est professeur au Département des sciences juridiques de l’UQAM. En 2005, il a fondé la CIDDHU, qu’il a dirigée pendant plusieurs années. Il contribue à la promotion et la défense des droits humains depuis 1996, ayant collaboré avec plusieurs organisations de défense des droits de la personne et des peuples autochtones, des défenseurs des droits humains, des organisations internationales ainsi que des États. Dans le cadre de ses activités à la CIDDHU, il  a entre autres représenté avec succès les victimes dans les affaires Chitay Netch c. Guatemala ainsi que Dorzema et al. c. République Dominicaine, devant la Cour Interaméricaine de Droits de l’Homme. Le Pr Duhaime a produit de nombreuses publications et rapports institutionnels dans ses domaines d’expertise et été chercheur et professeur invité dans des universités aux États-Unis, en Amérique latine et en Europe.  Avant de rejoindre l’UQAM, il était avocat à la Commission Interaméricaine des Droits de l’Homme de l’OEA. À partir du 1er décembre 2014, il agira à titre de membre du Groupe de travail sur les disparitions forcées ou involontaires du Conseil des Droits de l’Homme de l’Organisation des Nations Unies (ONU). Le Pr. Duhaime continuera de conseiller la direction sur l’orientation stratégique de la Clinique.

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