Équipe de la CIDDHU

 Équipe permanente

Mirja Trilsch, Directrice

Mirja Trilsch est la directrice de la CIDDHU depuis 2011. Elle est professeure au Département des sciences juridiques de l’UQAM où elle enseigne le droit constitutionnel et le droit international des droits de la personne. Détentrice d’une maîtrise (LL.M.) en droit international et comparée des droits humains de l’Université McGill, elle a obtenu son doctorat de l’Université de Düsseldorf, sa thèse portant sur la justiciabilité des droits économiques, sociaux et culturels. 

La Pr Trilsch a collaboré avec de nombreuses organisations de défense des droits humains et a notamment dirigé plusieurs rapports parallèles destinés aux comités onusiens. Elle est actuellement cochercheure sur le projet COMRADES (Communauté de recherche-action sur les droits économiques et sociaux) financé par le Conseil de recherches en sciences humaines du Canada. Depuis le 1er juin 2023, elle assume également la direction du Département des sciences juridiques de l’UQAM. 

Marjolaine Bougie, Coordonnatrice

Marjolaine est diplômée du baccalauréat en relations internationales et droit international (B.A., 2023) et complète actuellement un baccalauréat en droit à l’UQÀM (LL.B., 2025). Elle a participé à la CIDDHU en tant qu’étudiante à l’automne 2022, en corédigeant un rapport parallèle en vue du quatrième Examen périodique universel du Canada. Ce rapport mettait en lumière les violations des droits de la personne découlant de la pénurie de logements convenables au Nunavik comme produit de la discrimination systémique envers les Inuit. Marjolaine s’est à nouveau impliquée à la CIDDHU lorsqu’elle a débuté ses études en droit à l’automne 2023, cette fois en tant que case manager. Elle a travaillé sur quatre mandats portant sur l’analyse des standards internationaux relatifs aux conditions de détention dans les prisons, la défense des droits des personnes prévenues et détenues autochtones au Canada, la rédaction de la mise en accusation du Canada devant le Tribunal permanent des peuples ainsi que la défense d’une communauté locale face à une entreprise minière. Depuis mai 2024, elle assume le poste de coordonnatrice de la CIDDHU. 

Djemila Carron, Professeur.e

Djemila Carron est professeur.e au Département des sciences juridiques de l’UQÀM où iel enseigne notamment à la CIDDHU avec la professeure Mirja Trilsch. Iel est également à la direction de la Clinique de justice sociale de l’UQÀM (cliniX). Après des études de droit à Genève, Moscou et Cambridge (USA), iel réalise un LL.M. à la Columbia Law School où iel s’investit dans la Human Rights Clinic. Iel est également titulaire d’un doctorat en droit international humanitaire de l’Université de Genève. Avant de rejoindre l’UQÀM, Djemila Carron a co-créé et co-dirigé la Law Clinic sur les droits des personnes vulnérables de l’Université de Genève puis la Applied Human Rights Clinic, qui réunissait des étudiant.es en droit de Genève, Nairobi et du camp de réfugiés de Kakuma au Kenya. Ses intérêts de recherche portent sur l’enseignement du droit ainsi que les approches de genres et sexualités en droit. 

Charlotte Hamel, Coordonnatrice des activités expérientielles

Charlotte Hamel est avocate et coordinatrice des activités expérientielles du Département des sciences juridiques de l’UQAM qui comprend notamment les cliniques juridiques. Elle a le plaisir de se joindre à l’équipe de la CIDDHU. Charlotte a par ailleurs effectué sa maîtrise en droit à l’UQAM sur l’enseignement clinique au Québec. Cette dernière souhaite contribuer à l’avancement des connaissances sur les différents types de modèles d’enseignement clinique et de pratique du droit en matière de justice sociale. 

Vanessa Tanguay , Coenseignante

Me Vanessa Tanguay est chargée de cours à la Faculté de droit et de sciences politiques de l’UQAM. Elle est détentrice d’un doctorat en droit sur les conceptions juridiques de l’égalité à la lumière des expériences vécues de femmes (DCL, McGill), une maîtrise en droit (LL.M., UdeS) s’intéressant à l’intersectionnalité en matière de discrimination, un baccalauréat en droit (LL.B., UQAM) et en relations internationales et droit international (B.A., UQAM). Elle est chercheure postdoctorale au sein du Groupe de recherche en santé et droit de l’Université McGill, où elle poursuit ses travaux sur les droits et libertés en matière de santé, s’intéressant notamment à l’exclusion et la marginalisation de certains groupes et populations vulnérables. Le parcours de Me Tanguay relatif aux cliniques juridiques a débuté en 2009, lorsqu’elle a participé à la CIDDHU en tant qu’étudiante. Elle a poursuivi son implication en 2010 en contribuant à l’encadrement d’une équipe. En 2023-2024, elle a été responsable du Bureau d’assistance juridique internationale, une activité de clinique juridique de droit international à l’Université de Sherbrooke. À l’automne 2024, elle s’est jointe à la CIDDHU à titre de coenseignante.

Personnes avocates et encadreuses

Elise Hansbury

Professeure substitut au Département des sciences juridiques de l’UQAM et directrice par intérim de la CIDDHU pour l’année académique 2017-2018, Elise Hansbury occupe maintenant le poste de coordonnatrice de la formation et du laboratoire des droits humains chez Avocats sans frontières Canada. Détentrice d’une maîtrise en études internationales avec une spécialisation en droit international de l’Institut de hautes études internationales et du développement, à Genève, elle poursuit actuellement ses études doctorales, portant sur le dialogue des juges dans la jurisprudence de la Cour interaméricaine des Droits de l’Homme. Membre du Barreau du Québec depuis 2007, Elise Hansbury a été chargée de cours au Département des sciences juridiques et à la CIDDHU de 2014 à 2017. Elle a supervisé, à ce titre, plusieurs équipes d’étudiant.e.s dans la réalisation de mandats provenant principalement des Amériques. Membre associée au Centre interdisciplinaire de recherche en développement international et société de l’UQAM (CIRDIS), elle agit de plus comme consultante pour l’Organisation internationale du Travail, au sein de laquelle elle a travaillé à titre de juriste pendant son séjour à Genève. 

Éloise Ouellet-Décoste

Me Éloïse Décoste est professeure à la Section de droit civil de la Faculté de droit de l’Université d’Ottawa où elle enseigne en droits autochtones et en droit public. Elle a fait partie de l’équipe d’enseignement de la CIDDHU à titre de chargée de cours de 2022 à 2024. Elle est également candidate au Département des sciences juridiques de l’Université du Québec à Montréal (UQÀM), où elle travaille sur la réparation des violations des peuples autochtones du Canada à la lumière des standards de droit international. Antérieurement, Me Décoste a travaillé pour la division juridique du Comité international de la Croix-Rouge (CICR) de même que pour le bureau du Rapporteur spécial sur la liberté d’expression de la Commission interaméricaine des droits de l’Homme. Me Décoste est titulaire d’un LL.M. summa cum laude de la Geneva Academy of International Humanitarian Law and Human Rights et d’un baccalauréat bijuridique de l’Université McGill. Elle est membre du Barreau du Québec.

Melissa Beaulieu-Lussier

Me Mélissa Beaulieu Lussier est membre du Barreau du Québec depuis 2014. Elle est diplômée du baccalauréat en droit et du baccalauréat en droit international et relations internationales de l’UQÀM. Elle est également détentrice d’une maîtrise de l’Université McGill, dont le mémoire porte sur le droit pénal international et les violences sexuelles. Me Beaulieu Lussier est présentement comme assistante légale à la Cour pénale internationale pour l’équipe de défense de M. Al Hassan. Elle a également participé au Concours de droit international humanitaire JeanPictet, pour lequel elle a été responsable de la formation juridique à l’UQÀM de 2015 à 2019.

Maggie Bellerose 

Me Maggie Bellerose a travaillé pendant près de quatre ans comme avocaterecherchiste à la Cour d’appel du Québec à Montréal. Elle est diplômée du baccalauréat et de la maîtrise en relations internationales et droit international de l’UQÀM. Elle a travaillé à la Délégation du Québec à Los Angeles, ainsi qu’à la Délégation canadienne auprès de l’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE), avant de reprendre des études de droit au cours desquelles elle a participé comme étudiante à la CIDDHU. Elle y poursuit depuis son implication à titre de superviseure, et apporte son soutien à des équipes travaillant en litige auprès de la Cour européenne des droits de l’Homme.

Stéphanie Bernstein 

Stéphanie Bernstein Ad. E. est professeure au Département des sciences juridiques de l’Université du Québec à Montréal depuis 2003. Elle enseigne en droit national, comparé et international du travail. Ses activités de recherche sont centrées sur les enjeux des multiples formes de précarisation du travail en droit national et comparé. Elle participe depuis de nombreuses années à des projets de recherche et de formation avec des organisations syndicales et des groupes communautaires de défense des droits des travailleuses et travailleurs en situation de précarité. Elle a également été associée chez Ouellet, Nadon et Associés à Montréal, un bureau spécialisé en droit social et du travail, de 1996 à 2009, et a été membre du Tribunal des droits de la personne du Québec à titre d’assesseure de 1998 à 2003. 

Léa Blard 

Léa Blard est titulaire d’un baccalauréat en relations internationales et droit international (2018) et d’un baccalauréat en droit (2020) de la faculté de science politique et de droit de l’Université du Québec à Montréal (UQAM). Au cours de ses études, elle s’est impliquée à plusieurs occasions auprès de la Clinique internationale de défense des droits humains de l’UQAM (CIDDHU); d’abord, comme étudiante en 2017, puis comme case manager en automne 2018 et en hiver 2020. Dans ce contexte, Léa a travaillé en collaboration avec les organismes Projet accompagnement Québec-Guatemala, Global Alliance of National Human Rights Institutions et le Réseau Ivoirien pour la Défense des droits de l’Enfant et de la Femme. Léa a réussi ses examens du barreau en hiver 2021 et travaille désormais à titre d’avocate-recherchiste à la Cour d’appel du Québec. Cette session, elle encadre une équipe de la CIDDHU qui rédige une Analyse comparative de genre pour le projet Unidas au Salvador d’Avocats sans frontière Canada. 

Noémie Boivin 

Noémie Boivin est stagiaire postdoctorale à la Faculté de droit de l’Université de Sherbrooke et coordonnatrice du Laboratoire pour la recherche critique en droit. Elle détient un doctorat en droit de la Benemérita Universidad Autonónoma de Puebla, une maîtrise en droit de l’Université du Québec à Montréal et un baccalauréat en relations internationales et droit international de cette même université. Elle a été doctorante invitée à l’École de droit de Sciences Po Paris et chercheure invitée au Colegio de la Frontera Sur (San Cristóbal/Tapachula, Mexique). Noémie s’intéresse aux catégories juridiques de la migration internationale, à l’intersection entre les systèmes d’immigration et d’asile, à la perspective décoloniale et à l’ethnographie juridique en contexte mexicain. Sa recherche doctorale, financée par le Conseil de recherches en sciences humaines du Canada, a exploré la dichotomie entre régularité et irrégularité migratoire dans le cas de femmes étrangères à la frontière sud du Mexique (Tapachula). Son projet postdoctoral s’intitule : Contention humanitaire de la migration irrégulière: ethnographie juridique en territoires de transit au Mexique. 

Julie Carlesso 

Me Julie Carlesso est détentrice d’un baccalauréat en journalisme de l’UQÀM, d’un baccalauréat en droit de l’UdeM et d’une maîtrise en droit international et politique internationale de l’UQÀM. Elle est associée en litige chez Norton Rose Fulbright Canada, à Montréal. Elle a auparavant travaillé à titre d’auxiliaire juridique à la Cour suprême du Canada auprès de l’Honorable Richard Wagner. Elle a, en outre, été impliquée à titre d’étudiante dans l’affaire Nadège Dorzema et al, portée devant la Cour interaméricaine des Droits de l’Homme et pour laquelle la République dominicaine a été condamnée pour plusieurs violations des droits de la personne. Me Carlesso a aussi été coordonnatrice de la CIDDHU et a effectué, dans le cadre de sa maîtrise, un stage juridique à la Commission interaméricaine des Droits de l’Homme à Washington, D.C.

Alia Chakridi

Me Alia Chakridi est diplômée de l’Université du Québec à Montréal en droit (L.L.B. 2013) ainsi qu’en relations internationales et droit international (B.A. 2010). Membre du Barreau du Québec depuis 2015, elle fut avocate-recherchiste auprès des juges de la Cour supérieure du Québec avant de se joindre à notre étude, où elle exerce principalement en droit criminel et pénal dans tous les districts du Québec. Elle représente également des personnes faisant l’objet d’une demande d’autorisation de soins et les victimes d’accidents et de maladies du travail. 

Marianne Dagenais Lespérence 

Marianne Dagenais Lespérance est diplômée du baccalauréat en sciences juridiques de l’UQÀM. Elle détient également une maîtrise en droit international des droits humains du London School of Economics and Political Science. Depuis, Marianne a travaillé dans diverses organisations juridiques de défense des droits humains à l’international et au Canada. Notamment, elle a travaillé pour une firme de consultation œuvrant comme équipe de défense de Jovica Stanisic au Tribunal pénal international de l’ex-Yougoslavie, ainsi que pour la mise en œuvre du Statut de Rome dans divers pays. Elle travaille maintenant comme avocate dans des dossiers de droits humains, notamment en milieu carcéral, auprès d’un cabinet spécialisé en actions collectives. 

Maryse Décarie-Daigneault 

Maryse Décarie-Daigneault travaille comme avocate en droit des peuples autochtones auprès du cabinet Dionne Schulze. Elle complète aussi une maîtrise en droit à l’Université McGill, qu’elle a entamée après avoir travaillécomme avocate-recherchiste auprès de la Cour d’appel du Québec. Son mémoire porte sur la violence d’État en Amérique latine et sur les enjeux liés à la justice transitionnelle dans cette région, plus particulièrement dans le cadre la « guerre de la drogue » au Mexique. Passionnée par les enjeux sociologiques portant sur l’impunité et la justice criminelle, elle s’intéresse aux liens entre mémoire, véritéet justice dans les Amériques. 

Maximilien Dion  

Me Maximilien Dion a travaillé pendant plus de 10 ans dans le milieu cinématographique avant de réorienter sa carrière. Il est diplômé du baccalauréat en droit de l’UQAM. Il participe comme étudiant à la CIDDHU aux deux sessions de 2018 avant de s’impliquer à nouveau à la Clinique, cette fois comme coordonnateur. Il s’intéresse particulièrement aux luttes pour l’émancipation des peuples ainsi que pour un meilleur accès à la justice pour toutes et tous. Il exerce aujourd’hui sa pratique en protection du territoire agricole et renouvelle son engagement auprès de la CIDDHU, maintenant comme encadreur.

Virginie Dufresne-Lemir 

Membre du Barreau du Québec depuis 2014, Virginie Dufresne-Lemire travaille chez Arsenault Dufresne Wee avocats, cabinet qu’elle a fondé avec deux collègues. Elle est détentrice de deux baccalauréats de l’UQÀM (droit et relations publiques) et est en voie d’obtenir une maîtrise en Prévention et règlement des différends de l’Université Sherbrooke. Elle a effectué son stage du Barreau auprès de l’Honorable Michèle Pauzé puis de l’Honorable Ann-Marie Jones au Tribunal des droits de la personne du Québec. Elle commence par pratiquer en droit criminel, puis se spécialise en droit civil dans les cas de brutalité policière et d’agressions sexuelles, entre autres dans le cadre d’actions collectives contre des congrégations religieuses.

Bernard Duhaime 

Bernard Duhaime est professeur titulaire au Département des sciences juridiques de l’UQAM, avocat émérite au Barreau du Québec et Rapporteur spécial sur la promotion de la vérité, de la justice, de la réparation et des garanties de non-répétition à l’Organisations des Nations Unies. En 2005, il a fondé la CIDDHU, qu’il a dirigée pendant plusieurs années. Il contribue à la promotion et la défense des droits humains depuis 1996, ayant collaboré avec plusieurs organisations de défense des droits de la personne et des peuples autochtones, des défenseurs des droits humains, des organisations internationales ainsi que des États. Dans le cadre de ses activités à la CIDDHU, il a entre autres représenté avec succès les victimes dans les affaires Chitay Netch c. Guatemala ainsi que Dorzema et al. c. République Dominicaine, devant la Cour Interaméricaine de Droits de l’Homme. Le Pr Duhaime a produit de nombreuses publications et rapports institutionnels dans ses domaines d’expertise et été chercheur et professeur invité dans des universités aux États-Unis, en Amérique latine et en Europe. Avant de rejoindre l’UQAM, il était avocat à la Commission Interaméricaine des Droits de l’Homme de l’OEA. De 2014 à 2021, il était membre du Groupe de travail sur les disparitions forcées ou involontaires du Conseil des Droits de l’Homme de l’Organisation des Nations Unies (ONU). Le Pr. Duhaime continue de conseiller la direction sur l’orientation stratégique de la Clinique. 

Evelyne Dumas

Evelyne Dumas est membre du Barreau du Québec et avocate en litige civil au sein du cabinet Lapointe Légal depuis mars 2023. Sa pratique est orientée vers la défense des personnes victime d’abus. Diplômée du Baccalauréat en droit de l’UQAM, elle a complété son stage du Barreau auprès du Tribunal des droits de la personne. Elle est également diplômée du Baccalauréat en relations internationales et droit international de l’UQAM et candidate au DESS en Droit et politiques de la santé à l’Université de Sherbrooke. 

Au retour d’une année d’études à l’Université des Études Internationales de Shanghai à l’automne 2018, elle participe à la CIDDHU en tant qu’étudiante pour la rédaction d’un rapport sur les réalités des défenseures des droits humains en exil au Canada. Elle poursuit le travail entamé en tant que case manager à l’hiver 2019. À la session d’automne 2019, elle participe à titre de case manager à l’élaboration d’un argumentaire sur l’impossibilité d’agir des femmes et des filles autochtones qui souhaiteraient dénoncer des agissements policiers au Québec. À l’automne 2022, elle co-encadre une équipe ayant le mandat de rédiger un rapport discutant des impacts sur les défenseur.e.s des droits humains russes des mesures internationales adoptées à la suite de la guerre en Ukraine. À l’automne 2024, elle encadre une équipe dans la mise à jour et la rédaction d’un rapport parallèle soumis devant le Comité des droits de l’homme des Nations Unies, dans le cadre de l’examen périodique du Burkina Faso. 
 

Doris Farget

Doris Farget est docteure en droit des Universités de Montréal et d’AixMarseille 3. Après avoir effectué deux stages postdoctoraux dont l’un au Département d’anthropologie de l’Université McGill, elle est aujourd’hui professeure au Département des sciences juridiques de l’UQAM. Elle y enseigne, tant aux étudiant.e.s du département qu’à ceux issus de diverses disciplines des sciences sociales, le droit canadien et les enjeux autochtones. En plus d’être co-chercheure dans le cadre du projet LOFEO, elle travaille aussi sur la notion de propriété collective telle qu’elle est mobilisée par les juges interaméricains et telle qu’elle est perçue par certains interlocuteurs autochtones au Québec. 

Dalia Gesualdi-Fecteau  

Me Dalia Gesualdi-Fecteau est professeure et chercheuse au Département des sciences juridiques de la Faculté de science politique et de droit de l’UQAM. De 2005 à 2012, elle a pratiqué le droit du travail à la Direction générale des affaires juridiques de la Commission des normes du travail. La professeure Gesualdi-Fecteau est aussi affiliée au Centre de recherche interuniversitaire sur la mondialisation et le travail et a participé à différents projets de recherche, notamment sur les nouvelles formes d’emploi et le travail atypique ainsi que sur les disparités de traitement en milieu de travail. Elle s’intéresse également à la situation, au Canada, des travailleurs et travailleuses étrangers et étrangères temporaires. Elle a collaboré à la CIDDHU comme avocate chargée d’un dossier à la session d’hiver 2013, à l’automne 2014, à l’hiver 2015, puis de nouveau à l’automne 2016.

Maya Gold-Gosselin

Me Maya Gold-Gosselin est procureure au Directeur des poursuites criminelles et pénales. De 2015 à 2017, elle a travaillé à titre d’avocate-recherchiste à la Cour d’appel du Québec. Me Gold-Gosselin est diplômée du baccalauréat en relations internationales et droit international ainsi que du baccalauréat en droit de l’UQAM. Elle a acquis de l’expérience en droit pénal international, en droit des femmes et en droit des enfants lors de stages professionnels, respectivement, à la Chambre III du Tribunal pénal international pour l’ex-Yougoslavie, au Centre d’aide juridique de l’Association des femmes juristes du Bénin et auprès du Président du Tribunal de première instance de Cotonou (Bénin). 

Louisa Heniche  

Louisa Heniche est diplômée du baccalauréat en droit à l’UQÀM (2021) et du baccalauréat en relations internationales et droit international (2019). Elle a participé à la CIDDHU à titre d’étudiante à l’hiver 2018, avec comme mandat l’élaboration d’un guide sur le Système interaméricain de protection des droits de l’Homme. Depuis son implication auprès de la CIDDHU, Louisa a occupé un emploi en tant qu’assistante de recherche en droit de l’immigration dans un cabinet d’avocats. Elle a également participé à l’édition 2019/2020 du concours en droit international public Charles Rousseau. Elle a poursuivi son implication au sein de la CIDDHU à titre de case-manager tout en s’impliquant auprès du Projet Innocence. Actuellement, Louisa est avocate criminaliste.

Faïza Kadri

Faïza Kadri détient un baccalauréat et une maîtrise en droit, et poursuit des études doctorales. Ses champs d’études portent particulièrement sur les droits économiques et sociaux et les courants de pensée postcoloniaux. Ses intérêts de recherche touchent également aux enjeux des revendications identitaires et mémorielles (droit à la mémoire et droit de mémoire) en contexte postcolonial. Faïza Kadri a occupé diverses fonctions en droit au cours de son parcours professionnel, notamment à titre d’avocate en litige et d’agente de recherche en commission d’enquête.

 

Pauline Lachance

Me Pauline Lachance travaille actuellement comme avocate-recherchiste à la Cour d’appel du Québec. Elle est diplômée du baccalauréat en relations internationales et droit international et du baccalauréat en droit de l’UQAM. Elle a participé à la CIDDHU en 2013 et a travaillé sur un dossier qui a mené au dépôt d’un rapport parallèle au Comité pour l’élimination de la discrimination envers les femmes des Nations Unies. Elle a par la suite fait un stage pour l’Association des aides familiales du Québec, où elle est restée en tant que bénévole avant de devenir présidente du conseil d’administration pendant un an. Elle a repris son implication à la CIDDHU en 2017 en tant que case-manager, puis à titre d’avocate responsable. 

Laurianne Ladouceur 

Me Laurianne Ladouceur a été stagiaire et conseillère juridique en droit international humanitaire au Comité international de la Croix-Rouge (CICR) à Genève en 2015. Elle a également été conseillère juridique volontaire pour Avocats sans frontières Canada au Honduras, auprès du Centro de Investigación y Promoción de los Derechos Humanos (CIPRODEH) en 2016. Elle détient un baccalauréat en droit de l’Université de Montréal (2013) et poursuit présentement des études de maîtrise en droit international à l’UQAM. Ses recherches visent entre autres à identifier et interroger les différentes conceptions théoriques du risque qui sous-tendent, le cas échéant, les interprétations adoptées par les décideurs et décideuses des instances canadiennes en matière de droit d’asile. Engagée dans la promotion et la protection des droits humains, elle a agi à titre d’avocate responsable pour la CIDDHU lors des années universitaires 2017-2018 et à titre de coordonnatrice pour les années 2017-2018 et 2018-2019. Elle est désormais stagiaire auprès du Haut Commissariat des Nations unies pour les réfugiés. 

Justine Lalonde 

Me Justine Lalonde est diplômée du baccalauréat en relations internationales et droit international de l’UQAM (2019). Elle a participé à la CIDDHU en tant qu’étudiante à l’automne 2018 en travaillant sur le rôle des organisations nationales des droits de l’Homme dans la prévention des violences basées sur le genre. Elle complète par la suite une session à la University of Helsinki. De retour à Montréal, elle entame le baccalauréat en droit à l’UQAM (2021). Ses intérêts principaux sont les violences sexuelles et conjugales ainsi que les droits et libertés fondamentaux de la personne. À l’automne 2020, elle retrouve la CIDDHU en tant que case manager et en devient la coordonnatrice pour l’année 2021. Elle a réalisé son stage du Barreau au Tribunal des droits de la personne du Québec auprès de l’honorable Madeleine Aubé (J.C.Q.) et y a été engagée après son assermentation à titre d’avocate. 

Michelle Langlois  

Michelle Langlois est une juriste canadienne spécialisée en droit international des droits humains et dans l’enseignement clinique juridique. Durant ses études, elle a agi à titre de case-manager et coordonnatrice pour la CIDDHU. Mme Langlois a donné plusieurs conférences sur le thème des droits humains et de l’apprentissage par expérience, ainsi que supervisé la rédaction de rapports parallèles sur les droits des enfants, sur la discrimination basée sur le genre et sur la violence en Asie du Sud-Est et dans les Caraïbes. Son intérêt pour l’Asie l’a amenée à faire du bénévolat pour le Extrajudicial Killings Unit of the Cambodian Human Rights and Development Association (ADHOC) et pour la Faculté de droit de l’Université de Phayao en Thaïlande au sein d’une clinique juridique itinérante. Durant sa première année de droit, Michelle Langlois a remporté le Best memorial à la Inter-American Human Rights Moot Court Competition à Washington D.C. Elle supervise maintenant l’équipe de l’Université du Québec à Montréal qui participe à ce concours. Après son stage auprès d’un grand cabinet de droit canadien, Mme Langlois a complété sa maîtrise en droit international des droits humains de l’Université Notre-Dame aux États-Unis avec la mention summa cum laude. Sa thèse porte sur les enjeux éthiques et pratiques auxquels font face les grands cabinets de droit dans la mise en œuvre des Principes directeurs relatifs aux entreprises et aux droits de l’homme de l’Organisation des Nations Unies. Michelle détient également un baccalauréat en Relations internationales et droit international de l’UQAM et un certificat en études asiatiques. Elle a été admise au Barreau du Québec en 2014 et travaille aujourd’hui en tant que chargée de projet pour l’organisation SHIFT basée à New York. 

François Le Moine

Me François Le Moine est membre du Barreau du Québec et pratique principalement en litige commercial et sur les questions liées au droit des arts. Il enseigne un cours de droit des arts et du patrimoine culturel. Me Le Moine détient une licence de la Sorbonne, une maîtrise de l’École des hautes études en sciences sociales et des diplômes de droit civil et common law de l’Université McGill. Il a également étudié aux universités de Keio, de Copenhague et de Shantou.

 

Léa Lemay Langlois

Léa Lemay Langlois est diplômée du baccalauréat en droit et du baccalauréat en relations internationales et droit international de l’UQAM. Elle détient également une maîtrise en droit international des droits humains de l’Université Notre Dame aux États-Unis, qu’elle a complétée à titre de double boursière Fulbright et John Peters Humphrey. Me Lemay Langlois pratique auprès d’un cabinet d’avocat.es spécialisé.es en droit des peuples autochtones à Montréal. Auparavant, elle a travaillé au sein de diverses organisations académiques et de la société civile, notamment en tant que conseillère juridique en droits humains au Guatemala.

Marjolaine Olwell 

Me Marjolaine Olwell est membre du Barreau du Québec depuis 2012. Elle est détentrice d’un baccalauréat en relations internationales et droit international et d’un baccalauréat en droit de l’UQAM. Durant ses études, elle s’est intéressée au droit autochtone, ainsi qu’au droit interaméricain, s’impliquant à la CIDDHU, auprès de Droits et Démocratie, ainsi qu’à titre de plaideuse et d’entraîneure au concours de plaidoirie trilingue de la Inter-American Human Rights Moot Court Competition. Me Olwell a commencé sa carrière d’avocate à la Cour d’appel du Québec comme recherchiste pour le juge Clément Gascon. Elle s’est ensuite dirigée vers la pratique du droit autochtone au sein du cabinet Dionne Schulze, où elle a représenté des individus et des communautés autochtones dans de nombreux dossiers en droit pénal, constitutionnel, et dans le cadre du Processus d’évaluation indépendant de la Convention de règlement relative aux pensionnats indiens. Me Olwell travaille maintenant comme avocate pour le Rapporteurship sur les droits des peuples autochtones de la Commission interaméricaine des Droits de l’Homme, à Washington DC. Elle encadre à distance des équipes d’étudiant.e.s en tant qu’avocate responsable. 

Frédéric Paquin

Me Frédéric Paquin a travaillé pendant plus de onze ans à titre d’avocat plaidant pour le gouvernement canadien. Il a représenté la Couronne devant les tribunaux judiciaires dans le cadre d’actions en responsabilité civile, de recours en contrôle judiciaire et de demandes de nature constitutionnelle. Depuis 2012, Me Paquin enseigne le droit au Collège de Valleyfield dans le cadre du programme de Techniques juridiques. Il supervise également des dossiers à la CIDDHU. Il est présentement chargé de cours à l’Université du Québec à Montréal. Enfin, Me Paquin agit à titre d’avocat-conseil en droit administratif et constitutionnel dans le cadre de recours en droit de l’environnement.

Stéphane Perron-Tremblay  

Me Stéphane Perron Tremblay est diplômé du baccalauréat en relations internationales et droit international et du baccalauréat en droit de l’UQAM. Il a terminé sa formation du Barreau du Québec en 2018 après avoir effectué un stage auprès de la Commission des droits de la personne et des droits de la jeunesse (CDPDJ). Stéphane a participé à la CIDDHU en 2013 où il a eu la chance de travailler à la production d’un rapport d’observation sur la mise en œuvre des mesures de réparation ordonnées par la Cour interaméricaine des Droits de l’Homme dans le cadre de l’affaire Nadège Dorzema c. République dominicaine (2012). Il a également effectué un stage terrain au Centro Cultural Dominico-Haitiano en République Dominicaine. Après avoir agi à titre de coordonnateur de la CIDDHU de 2015 à 2017, il a poursuivi son implication à la CIDDHU à titre de case-manager. Il travaille actuellement à la CDPDJ à titre d’enquêteur. 

Marc Perron 

Me Perron s’est joint à l’équipe de la CIDDHU en tant qu’avocat et chargé de cours en 2010. Il est membre du Barreau du Québec depuis 1987 et il est avocat sénior litige au cabinet Therrien Couture. Ancien étudiant de la CIDDHU (2008), il a participé à la rédaction d’un rapport sur la situation de l’enregistrement des naissances et le droit à l’éducation à travers le monde, qu’il a eu la chance de présenter devant le Comité des droits de l’enfant à Genève en septembre 2008. Il exerce sa pratique en litige commercial. Il enseigne le droit de la preuve civile à l’école du Barreau du Québec à Montréal.

 

Christine Renaud

Christine Renaud a commencé sa pratique juridique en droit criminel et pénal, travaillant notamment auprès des femmes incarcérées et dans des dossiers d’erreurs judiciaires. Elle a auparavant travaillé au Cambodge dans une organisation locale de défense des droits des femmes. Elle a été impliquée comme procureure, puis comme recherchiste, à la Commission d’enquête sur la protection de la confidentialité des sources journalistiques, puis comme procureure responsable du secteur correctionnel à la Commission d’enquête sur les relations entre les Autochtones et certains services publics : Écoute, Réconciliation, Progrès. Elle est présentement analyste et chargée de projets au Centre international pour la prévention de la criminalité et enseigne le droit au Collège Ahuntsic. Elle agit aussi comme avocate-conseil à la Commission spéciale sur les droits des enfants et la protection de la jeunesse. 

Juliette Strohbach  

Juliette est diplômée d’un baccalauréat en relations internationales et droit international de l’UQAM (2019) et d’une maîtrise en développement international et mondialisation avec spécialisation en études féministes à l’Université d’Ottawa (2022), où elle s’est penchée sur la violence sexuelle par les forces de l’ordre en contexte de soulèvements populaires dans le cadre de sa thèse. Juliette travaille aujourd’hui en équité, diversité et inclusion, particulièrement dans le milieu de la recherche et de la santé. Auparavant, elle a travaillé avec plusieurs organisations sur les questions d’équité, de genres et de violence, notamment en Colombie et en Bolivie. Elle s’implique à la CIDDHU depuis 2018, d’abord comme étudiante, puis case-manager et maintenant comme encadreuse. Ayant travaillé sur différents mandats de plaidoyer au Canada, au Honduras et en Côte d’Ivoire, elle appuie généralement les équipes sur les enjeux de santé sexuelle et reproductive. 

Alexie Tétreault 

Me Alexie Tétreault est titulaire d’un baccalauréat en sciences juridiques de l’UQÀM. Pendant ses études, elle a participé aux activités de la CIDDHU à titre d’étudiante puis en tant que case manager pour des mandats relatifs à l’accès aux soins périnataux des migrantes à statut précaire et de leurs enfants au Québec. Elle a ensuite joint le cabinet Ouellet Nadon et associé.e.s, où elle a représenté des clients en lésions professionnelles, en droit du travail, en droit du logement et en aide sociale. Elle travaille présentement en tant que conseillère syndicale dans le milieu de l’éducation. 

Justine Monette-Tremblay 

Justine Monette-Tremblay est candidate au doctorat en droit international à la Section de droit civil de l’Université d’Ottawa. Dans le cadre de sa thèse doctorale, elle cherche à déterminer si les commissions de vérité et de réconciliation permettent aux victimes d’obtenir un sentiment de justice. Ses recherches sont financées par le Fonds de recherche du Québec, Société et culture. Justine est également adjointe à la rédaction senior à la Revue Canadienne Droit et Société et professeure à temps partiel à l’Institut d’études féministes et de genre de l’Université d’Ottawa. Depuis 2020, elle est membre du Centre de recherche et d’enseignement sur les droits de la personne de l’Université d’Ottawa. 

Justine détient un Master en droit des libertés de l’Université Grenoble Alpes en France, un Diplôme d’études supérieures spécialisées en études internationales de l’Université de Montréal et un Baccalauréat en relations internationales et droit international de l’Université du Québec à Montréal où elle a été impliquée dans différentes activités de défense des droits humains. Elle a participé à la CIDDHU en tant qu’étudiante en 2014, puis case-manager en 2016. 

Élisabeth Thibault 

Me Élisabeth Clara Thibault est diplômée du baccalauréat en droit de l’UQÀM avec une concentration en communication internationale. Elle a participé à la CIDDHU comme étudiante, puis s’y est impliquée à titre de case manager et de coordonnatrice. Durant son parcours universitaire, elle a effectué un stage à la Clinique d’information juridique de Concordia et auprès d’Avocats sans frontières Canada, puis elle a participé à la cocréation de la Clinix à l’UQÀM. Elle a ensuite complété son stage du Barreau au Tribunal des droits de la personne. Me Thibault est actuellement avocate au Centre de justice de proximité du Grand-Montréal. Elle pratique principalement en droit de la famille, du logement et du travail. 

 

Valérie Bouchard

Valérie Bouchard est chargée de cours et enseigne la méthodologie du droit, la méthodologie de la recherche, l’interprétation des lois, la propriété intellectuelle de même que des cours de vulgarisation du droit à des non-juristes dans d’autres départements ou facultés. 

Case managers

Christine Simard 

Christine Simard est étudiante au Diplôme d’études supérieures en droits humains à l’UQÀM. Elle a travaillé pendant vingt ans dans la gestion des médias et des communications avant de se tourner vers les droits humains. Dans le cadre de ses études, elle a participé à la rédaction d’un rapport parallèle pour le Comité des droits des personnes handicapées au sein de la Clinique internationale de défense des droits humains de l’UQAM (CIDDHU). Christine détient également un baccalauréat en enseignement de l’histoire et une maîtrise en histoire de l’UQÀM. 

Myriam Pigeon 

Diplômée du baccalauréat en relations internationales et droit international (2021) et du baccalauréat en droit à l’UQÀM (2024), Myriam est actuellement à l’École du Barreau du Québec. En tant qu’étudiante à la CIDDHU à l’automne 2020, elle a participé à la rédaction d’un amicus curiae portant sur les normes interaméricaines des droits humains en matière d’accès à la justice dans un contexte de corruption. Passionnée par la défense des droits humains, Myriam a travaillé comme conseillère juridique volontaire au Honduras avec Avocats sans frontières Canada. Myriam est impliquée à la CIDDHU comme case manager depuis 2021, celle-ci a également été coordonnatrice de 2023 à 2024.

Cecilia Philippe  

Cécilia Philippe est étudiante au DESS en Droits Humains à l’Université du Québec à Montréal depuis janvier 2024. Ayant participé au cours de la CIDDHU au semestre de printemps 2024, Cécilia a pu obtenir une première expérience de droit clinique en travaillant sur les enjeux touchant à la santé sexuelle des filles et femmes en Côte d’Ivoire. Au semestre d’automne 2024, elle a eu le plaisir de s’engager en tant que case manager d’une équipe d’étudiantes continuant ce dernier mandat portant sur les grossesses précoces. S’engageant dans de nombreuses activités associatives, elle continue de développer des intérêts profonds envers les droits humains et la justice sociale. Dans ce sens, elle a effectué son stage de maîtrise au Bureau international pour la protection des droits de l’enfant à Montréal. Aujourd’hui, elle réalise son stage de fin d’étude au sein du Sous-Comité pour la prévention contre la torture au OHCHR à Genève, et occupe en même temps le poste de coordonnatrice du blogue Un seul monde de l’Institut d’études internationales de Montréal.  

Iris Delgado-Lapointe 

Détentrice d’un baccalauréat en relations internationales et droit international (2024) de l’UQAM, Iris poursuit actuellement une maîtrise en développement international et mondialisation à l’Université d’Ottawa. Son projet de recherche porte sur les organisations de défense des droits humains des personnes migrantes au Chiapas (Mexique), un travail qui la mènera à effectuer une recherche terrain à l’automne-hiver 2025-2026. 
 

À l’automne 2023, Iris a participé à la CIDDHU en tant qu’étudiante où elle a travaillé sur un mandat portant sur le principe de légalité pénale au Honduras en collaboration avec Avocats sans frontière Canada (ASFC). Elle a ensuite rejoint l’équipe de la CIDDHU en tant que case manager à l’hiver 2025 lui permettant de travailler à nouveau avec ASFC sur un mandat portant sur l’accès à l’avortement et la santé reproductive en Amérique latine. 

 

Rana Haidar

Rana est une étudiante à sa dernière année du baccalauréat en droit. Avant d’entamer ses études en droit, elle a obtenu un baccalauréat en sciences biomédicales, ce qui lui a permis de développer une solide compréhension des enjeux de la santé publique. Par son engagement envers les questions de justice sociale et d’équité dans le système de santé et par sa passion pour le droit de la santé, elle aspire travailler dans ce domaine, en particulier au niveau des enjeux de racisme médical et d’accès aux soins de santé pour les populations vulnérables. Dans le cadre de son implication avec la CIDDHU, elle a eu l’occasion de travailler sur la production d’un rapport parallèle sur le racisme médical avec la clinique juridique de St-Michel. Ce rapport avait pour but de mettre de l’avant les enjeux de racisme médical et d’accès à la santé au Québec et d’émettre des recommandations afin de pallier ces enjeux. Elle a ensuite eu l’occasion la session suivante de travailler en tant qu’encadreuse, cette fois en collaboration avec WICC, un organisme au Cameroun, sur un rapport sur l’impact des changements sur le droit à la santé menstruelle des femmes camerounaises. 

Andrea Ruiz-Velasquez    

Andrea Velasquez est titulaire d’un baccalauréat en droit de l’Université Nationale Majeure de San Marcos (UNMSM) et termine actuellement sa maîtrise en droit (avec une concentration en droit international et en politique internationale) à l’UQAM. Elle a été stagiaire à la Commission Interaméricaine des Droits de l’Homme (CIDH) à Washington D.C. et est bénévole dans le domaine juridique de Generación Orgullo, une association civile dédiée à la défense des droits des personnes LGBTQI+ au Pérou. Andrea a également été étudiante à la CIDDHU durant l’hiver 2024, où elle a travaillé sur la mise à jour de l’ESAP devant la Cour Interaméricaine des Droits de l’Homme. De plus, elle est case manager depuis l’automne 2024, soutenant le projet démystifier le plaidoyer à l’international pour la défense des droits des personnes LGBTQI. Actuellement, elle est également assistante de projet pour la rédaction d’un rapport sur l’accès à la justice des femmes migrantes et des personnes LGBQI+ avec un statut migratoire à la Clinique de Solutions Justes. 
 

Korine Ladouceur  

Korine est diplômée du baccalauréat en relations internationales et droit international à l’UQÀM depuis 2022 et complète actuellement une maîtrise en études autochtones à l’UQAT, où elle se concentre sur la justice et les femmes en contexte autochtone. Elle est également chargée de projet en justice communautaire au Centre d’amitié autochtone de Val-d’Or. Ayant participé à la CIDDHU à l’automne 2021 dans le cadre d’un mandat avec Avocats Sans Frontières, cette expérience clinique a confirmé et motivé son intérêt pour la défense des droits humains et l’accès à la justice. Son implication à la CIDDHU en tant que case manager à l’automne 2024 s’inscrit en continuité avec son parcours, cette fois-ci aux côtés d’une équipe étudiante travaillant sur un rapport parallèle présenté devant le Comité des droits de l’homme et relatif aux droits civils et politiques au Burkina Faso.